Mon Périgord bien-aimé ! Lettre Numérique - Avril 2023
Mon Périgord bien-aimé !
La Lettre numérique de Reconquête! Dordogne.
Cher soutien de Reconquête! Dordogne,
chère amie, cher ami,
Pour commencer aujourd'hui,
une petite réflexion liminaire, en forme de sondage à réaliser auprès de vous.
Si vous demandez à vos collègues, à votre famille ou à vos amis de citer des exemples de "Métiers d'action", il y a plus de chances que vous obteniez comme réponse: pompier, parachutiste, infirmier ou policier que ... politicien !
Et pourtant la politique n'est-elle pas d'abord un métier d'action ?
C'est une des ambitions fortes de notre mouvement :
Raccrocher l'action à la politique !
Être la droite qui ose ! Être la vraie droite !
C'est être La droite de l'action !
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Idées - Actions - Elections
(Slogan d'Eric ZEMMOUR)
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Dans cette lettre numérique d'avril 2023,
découvrez tout d'abord deux femmes d'action
avec
Sandrine PARIS, notre Responsable de circonscription (Circo 2/ BERGERAC), récemment élue au Conseil national de Reconquête!
et
Karine, Référente Parents vigilants de notre département,
puis ensuite viendra le tour des hommes
avec
le très joli mot de Guillaume DUFERMONT
et
l'invitation de Marcel VIVIER !
La France n'a pas dit son dernier mot !
Eric ZEMMOUR n'a pas dit son dernier mot !
Et vous, quelle(s) action(s) êtes-vous prêt à faire, concrètement ?
Bien à vous.
Antoine COUTOU
Responsable Communication Reconquête Dordogne.
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Sandrine PARIS,
Elue de Dordogne au Conseil national de Reconquête!
Chers amis de Reconquête !
Plus de 300 adhérents ont choisi de porter ma candidature au Conseil national de Reconquête ! Et je les en remercie sincèrement !
Je relève le défi, j'en mesure les conséquences et je m’acquitterai de mon travail avec rigueur et pugnacité !
Cette nomination n'aurait pas été possible sans vous !
Quelle épopée les amis ! En un peu plus d'un an je passe de secrétaire cantonale de Lalinde à responsable de la circonscription 2 de Dordogne et maintenant vous me permettez d’accéder au Conseil national de Reconquête !
Adhérente de la première heure, mon engagement pour Reconquête est total et il le devient maintenant auprès de vous. Je saurai m'en montrer digne !
Même si cette aventure va être passionnante, je reste militante et j'aurai encore et toujours besoin de vous !
Avec la fédération, nous souhaitons créer une équipe de veille pour notre Dordogne, veille à tous les niveaux, toutes les informations que vous pourrez nous remonter seront pour nous précieuses et nous permettront d'agir pour notre département de façon optimale et ainsi permettre au conseil national d'avoir une image précise de ce qui se passe sur le terrain .
Le risque d'ouverture nouvelle de CADA en Dordogne est réel, mais aussi tout ce que vous pourrez nous remonter pouvant servir notre cause :
Les problèmes de sécurité, les attaques contre notre patrimoine, la fermeture de commerce ou d'industrie, les aberrations au niveau scolaire ( que nous ferons remonter à notre référente « Parents vigilants » de Dordogne)...
En bref, tout ce que vous pensez pouvoir servir à Reconquête! et faire de notre Dordogne un département vigilant et conquérant !
Vous pouvez remonter ces informations directement sur le site de la fédération : https://fede24.parti-reconquete.fr/
N’oubliez pas ! Ensemble on est plus fort !
Encore merci et surtout, surtout Vive la France !
***Karine,
Référente Parents Vigilants Dordogne.
24@parents-vigilants.fr
Karine,
vous êtes depuis quelques semaines la Référente de Dordogne pour Protégeons Nos Enfants/ Parents Vigilants.
Antoine: Tout d’abord, y a-t-il une différence entre "Protégeons Nos Enfants" et "Parents Vigilants" ? Ou l’un est-il simplement le slogan de l’autre ?
Karine: Je me suis moi-même posé la question. Je pense que Protégeons Nos Enfants est le nom du mouvement dirigé par Agnès Marion, et Parents Vigilants est son émanation active. On peut faire partie de Protégeons Nos Enfants sans être Parents Vigilants...
Antoine: "Protégeons Nos Enfants", cela me fait penser aux panneaux de signalisation que l’on voit près des passages piétons et aux abords des écoles. Quel est l’objectif de ce réseau et les situations sur lesquelles il se propose d’agir sont-elles exclusivement liées à l’école ?
Karine: Vous avez raison : Protégeons Nos Enfants est, comme son nom l'indique, un réseau de parents ou d'enseignants qui se proposent de surveiller et dénoncer les dérives que l'on voit de plus en plus au sein de l'Education Nationale. A ce titre, le panneau de signalisation auquel vous faites allusion invite les automobilistes à ralentir afin de protéger les enfants d'un éventuel accident ; tout comme Protégeons Nos Enfants invite les parents à s'intéresser aux programmes scolaires et à discuter avec leurs enfants de contenus éducatifs sortant des sentiers battus. Protégeons Nos Enfants ne se cantonne pas exclusivement aux écoles. Nous l'avons vu récemment, le mouvement intervient également dans les crèches ou les bibliothèques qui font intervenir des drags-queens ou des LGBT pour lire des histoires aux enfants.
Antoine: Un parent... vigilant, c’est presque un pléonasme, non ? Pourquoi avoir eu besoin de mettre en avant cette "vigilance" ?A-t-on perdu les fondamentaux comme celui de la confiance dans l’enseignement, par exemple ?
Karine: Un parent est par essence protecteur envers son enfant. C'est naturel, instinctif. Dans le cas de Parents Vigilants, je me représente cette entité comme un signal lumineux qui annoncerait un danger. Depuis toujours, les parents ont fait confiance à l'Instruction Publique, puis l'Education Nationale. L'école était vue comme le temple du savoir et les parents y confiaient leurs enfants les yeux fermés. Aujourd'hui, à vrai dire depuis 15/20 ans, l'école fait de moins en moins ce pour quoi elle a été créée : il n'y a plus de transmission du savoir, les enseignants ne se font plus respecter et sont copains avec les élèves, l'école n'est plus le territoire neutre qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être. Et je ne parle même pas de la dégringolade du niveau scolaire. Avec tout ça, pas étonnant que certains parents (ceux qui le peuvent) inscrivent leurs enfants dans le privé. L'Education Nationale a perdu son aura, sa respectabilité. Et malheureusement ce n'est pas la seule institution à inspirer de la méfiance. C'est la même chose pour la santé, la sécurité, la justice... Nous assistons à une perte de confiance généralisée du peuple envers ses institutions.
Antoine: De quand date ce changement d’après vous ? S’agit-il d’une rupture nette ou est-ce plutôt une lente dégringolade ?
Karine: D'après moi, ce phénomène date d'il y a une cinquantaine d'années. C'est le résultat de Mai 68. Ce mouvement a été catastrophique pour l'enseignement. C'est à ce moment-là que l'on a vu se créer les associations de parents d'élèves qui sont le plus souvent politisées. Bien évidemment, les changements se sont faits petit à petit. C'est l'histoire de la grenouille dans l'eau bouillante. Jusqu'à la fin des années 90, l'enseignement était encore de qualité même si le niveau avait déjà baissé. Et puis, on oublie trop souvent de le dire, mais le nombre d'heures d'enseignement a lui aussi baissé. Les enfants n'ont plus classe le samedi (ou le mercredi) matin ce qui fait quand même 4 h de moins par semaine.
Antoine: Pour le moment, l’antenne Parents vigilants de Dordogne a-t-elle été sollicitée ?
Karine: Protégeons Nos Enfants/Parents Vigilants Dordogne est très récente, puisqu'elle n'a été créée que le 15 février dernier. Pour l'instant, rien ne m'a été remonté. Le seul incident serait dans l'école où mon fils de 11 ans est scolarisé : un film sur la transidentité a été diffusé la semaine dernière à toutes les classes de l'école. La mère d'une élève avec qui je suis en contact a écrit un mot dans le cahier de liaison de sa fille et en ce qui me concerne j'ai vu le directeur ce matin. Pour faire court, c'était "circulez y'a rien à voir, ça fait partie du programme". Il m'a aussi conseillé de faire part de mon mécontentement au rectorat et à l'inspection académique...
Antoine: Que pensez-vous faire dans l’avenir pour faire connaître ce réseau ? Comment se faire connaître dans les établissements scolaires ? Et comment devenir le réflexe des parents ou des grands-parents face à des situations "woke" ? Notre département n’en est pas exempt.
Karine: Pour l'instant, j'ai contacté les soutiens de Reconquête! qui s'étaient manifestés en tant que Parents vigilants. Je crois beaucoup au bouche à oreille. J'ai parlé de Protégeons Nos Enfants autour de moi à des personnes de confiance qui ont un réseau assez étendu et qui peuvent être amenées à connaître des parents confrontés au wokisme. Je pense aussi à une affiche aux abords des établissements scolaires, avec l'adresse mail de Protégeons Nos Enfants.
Antoine: Quelles sont les actions que Parents Vigilants/ Protégeons Nos Enfants peut envisager après un signalement ? Avez-vous des exemples de situations dans lesquelles Parents Vigilants a déjà pu peser ?
Karine: A mon avis, l'action qui fonctionne c'est la communication. Il faut informer les parents de chaque évènement qui survient dans les écoles car beaucoup ne sont pas au courant. La venue d'intervenants extérieurs n'est pas obligatoirement signifiée dans le cahier de liaison puisque ça se passe à l'école. Si les enfants sont d'un naturel réservé, ils ne vont pas forcément en parler à leurs parents. Les enseignants devraient tenir les gens au courant de chaque intervention, mais ils ne le font pas probablement pour éviter des esclandres, car je suis persuadée qu'une majorité de parents, au-delà des clivages politiques, sont contre le lavage de cerveaux que l'Education Nationale veut imposer aux enfants. On l'a vu avec l'annulation de la sortie dans un camp de migrants, puis avec un atelier LGBT supprimé, quand les parents sont mis au courant de ce genre d'activités, ils se mobilisent pour l'annuler.
Antoine: Dans un imaginaire contemporain, la "protection" peut aujourd’hui aussi être proche d’une sorte de "crispation" sur un mode "Mais laisse-le respirer !!!", comment, par conséquent, présenter plus avantageusement ce réseau de protection ?
Karine: Effectivement, de nos jours quand un parent (le plus souvent la mère) est protecteur, il peut être moqué par sa famille et ses amis d'être trop "mère poule". Mais Protégeons Nos Enfants va au-delà d'une simple recommandation à mettre un pull ! Imaginez le résultat que peut avoir une intervention sur le transgenrisme sur un enfant fragile émotionnellement ! Ca peut être catastrophique ! Et les conséquences, ce n'est pas l'Education Nationale qui les assumera, mais les parents ! Protégeons Nos Enfants/Parents Vigilants doit être vu comme un lanceur d'alerte : attention, il y a un risque que mon enfant soit profondément marqué par ce qu'il va voir et entendre lors de ces ateliers.
Antoine: Quelque chose que vous souhaiteriez ajouter, Karine ?
Karine: L'Etat en général et l'Education Nationale en particulier n'ont pas vocation à remplacer les parents en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants. Certains parents progressistes aborderont les sujets LGBT avec leurs enfants quand d'autres, plus nombreux, s'en abstiendront. Ce que l'Etat a du mal à comprendre (ou pire, il le comprend mais il s'en moque) c'est que les enfants sont différents : certains auront la maturité nécessaire pour prendre du recul et d'autres seront choqués. Les enfants d'aujourd'hui sont les adultes de demain.
Leurs actes et leurs décisions futurs dépendront beaucoup de ce qu'ils auront appris durant leur scolarité. Ne gâchons pas leur avenir, et le nôtre...
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De quelle Droite es-tu ?
par Guillaume DUFERMONT
Bigre, pas évident de répondre en quelques lignes à cette question.
De Droite, oui, je le suis, je n'ai jamais voté pour l'autre camp : principe de précaution...
Mais quelle Droite ?
Souverainiste alors que la France se noie dans l'Europe, le mondialisme, est maintenant clairement alignée et n'est plus respectée.
Identitaire et Chrétienne alors que la France se noie dans l'Afrique et l'Islam.
Défenseur de la Famille « traditionnelle », où, incroyable, un enfant c'est un père et une mère, où il n'y a que 2 genres et où la Vie est respectée.
Respectueuse et fière de notre histoire et de notre Drapeau.
Soucieuse de l'intérêt général et pas que des minorités.
La Droite de l'ordre, répressive s'il le faut.
Gestionnaire alors que la France croule sous les déficits sans que l'on sache réellement « où va le pognon ».
Libérale économiquement mais pas ultra libérale.
Sociale mais avec contrôles et revue des minimas sociaux.
Respectueuse des droits de chacun mais qui dit droits dit devoirs...
Pour résumer, je me définirais simplement comme Conservateur et surtout pas d'extrême Droite.
Aujourd'hui, RECONQUETE est LE mouvement qui peut nous rendre à nouveau totalement fiers d'être français et surtout plus optimistes pour l'avenir de nos enfants.
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Le Billet de Marcel Vivier :
Touche pas à mon pote, vraiment ?
De nos jours, la gauche morale, il faut bien le reconnaitre, joue encore l’arbitre des élégances dans l’espace de la communication politique, très élargi depuis une quinzaine d’années par les nouvelles technologies (réseaux sociaux, Internet, etc….).
Dans cet environnement dans lequel la pertinence doit avoir sa place pour contrer la violence des mots, cette activité de « créateur de slogans, punchlines, etc… » peut se révéler, si elle est qualitative, à très forte valeur ajoutée.
« Touche pas à mon pote », crée par les équipes d’Harlem Désir et Julien Dray en 1985 infusent encore comme le principal slogan antiraciste français de la fin du XXème siècle : c’est qu’il était bon !
Eric Zemmour nous apprenait d’ailleurs, dans l’émission « Le Grand Rendez-vous » du Dimanche 26 Mars à 11 h sur Cnews (vous pouvez la voir en Replay) que LFI dispose d’un groupe de travail appelé en interne « Le Comité des mots » dédié exclusivement à cela !....Il rappelait également qu’il avait réussi à imposer « francocide » comme néologisme que tout le monde comprend désormais.
Cela va peut-être paraître très immodeste aux amis que je ne connais pas et qui liront ces lignes, je souhaite l’aider !....
Je passe un appel à candidature : si 3 ou 4 personnes max étaient intéressées et agrégeaient leurs compétences aux miennes pour essayer de produire quelque chose, cela pourrait être utile. C’est un boulot au croisement de pas mal de disciplines (observation de la vie politique en temps réel, histoire, géographie, littérature, etc…). Très motivés sortirons quelque chose si nous sommes bons !
Merci de transmettre vos envies à Antoine, qui transmettra. A bientôt.
Votre Fédération de la Dordogne